Parenthèse : « Dans le temps » faits d’argile, ils étaient « eco friendly », mais la méchante mondialisation a petit à petit préféré le plâtre, ce que les poissons indiens, eux, n’ont pas préféré ...
Il n’en reste pas moins que le jour de l’immersion, tout s’enflamme, s’allume. Les tambours habillent les rues d’un vacarme infernale, les bijoux des femmes qui dansent les accompagnant en rythme. Les couleurs des saris, des salwar kameez se mélangent avec la poudre de santal rouge dans un tourbillon étourdissant. Vraiment, les cortèges se succèdent un par un, tous invitant les touristes que nous étions à se mêler à la procession. Un vrai concours d’endurance. La dernière pooja (prière) réalisée, et chantée, signe l’immersion, et Ganesh, porté par de robustes hommes disparaît
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